La note qui a mal
Dans mon pays, pour un regard de travers, on peut lyncher et en pleine rue deux êtres humains, innocents, sans que personne n’intervienne.
Dans mon pays, on laisse des patrons voyous mettre des régions et des familles entières à terre, sans rendre l’argent du contribuable, dont ils ont honteusement profité.
Dans mon pays, des hommes et des femmes politique font des promesses à n’en plus finir et une fois élu-e n’ont pas peur de se parjurer en regardant droit dans les yeux ceux qui ont voté pour eux (et les autres).
Une merveilleuse époque…