23rd fév2014

Les salles Zobscures : La Belle et la Bête

by Bertrand

La bande annonce était séduisante et donnait envie d’aller voir ce film, voyons ce qu’il en est.

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16th août2013

Les salles zobscures : Insaisissables

by Anne-Sophie

 

Anne-Sophie

4 illusionnistes et magiciens sont mystérieusement réunis. Ils donnent aux 4 coins des États Unis des spectacles époustouflants au cours desquels ils n’hésitent pas à voler l’argent de banques pour le redistribuer. Des Robins des Bois de la magie en somme.

A leurs trousses, un agent du FBI pas très doué, flanquée d’une française d’Interpol, un brin romantique.

Un bon divertissement d’été, un film qui va vite, une intrigue qui accroche, des personnages très intéressants et attachants. Le show opère. A cela s’ajoute une liste d’acteurs qui ont fait leurs preuves parmi lesquels le GRAND Morgan Freeman, Mark Ruffalo, Woody Harrelson (très en forme) et Jesse Eisenberg. Côté français José Garcia dans un petit rôle et Mélanie Laurent peu mise en valeur.

Et puis, la magie est mise sur le devant de la scène d’une belle manière. Il n’est pas question de tours de passe-passe mais bien de grands shows à l’américaine qui collent des frissons.

On peut dire que la fin est bâclée, l’histoire d’amour naissante entre deux personnages n’apporte strictement rien au film mais tout le reste fonctionne étonnamment bien.

Bertrand

Un film agréable à regarder,le postulat de départ est plutôt sympathique et original.

Par contre j’ai trouvé la fin décevante, le film fonctionne jusqu’à 5 minutes de la fin, et puis c’est un peu du grand n’importe quoi.

Dommage car cela aurait pu être un ‘grand film’, alors qu’il sera certainement vite oublié.

 

14th juin2013

Les salles Zobscures : Gatsby Le Magnifique

by Anne-Sophie

Avant d’être des films, Gatsby est un livre publié en 1925 par Scott Fitzgerald. Un livre de plus de 200 pages, dont l’objectif est de dépeindre une époque, l’Amérique des années 20 et la relation ambiguë de deux amants Daisy et un certain Gatsby.

Gatsby le Magnifique

Synopsis (Allo Ciné) :

« Printemps 1922. L’époque est propice au relâchement des mœurs, à l’essor du jazz et à l’enrichissement des contrebandiers d’alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s’installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d’un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s’étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble.

C’est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d’absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne et ses combats »

Aller voir le film c’est s’exposer à un déluge chromatique, une avalanche de costumes et de décors, une musique survoltée, des dialogues certes très fidèles au livre mais qui sonnent faux. La 3D ne sert en rien l’œuvre car l’œil est noyé sous une foultitude de détails et ne retient rien au final.

Dommage.

Tout semblait réunit pour que ce fil soit prometteur. Le réalisateur et sa vision du monde, les acteurs, la musique, le sujet.

A mes yeux, il s’agit ici d’un vaste ratage qui me désole. J’ai eu la sensation pendant plus de deux heures de regarder un clip vidéo grandeur nature. A aucun moment je n’ai été touchée, émue. Pas même par la démonstration de Léonardo Di Caprio. [D'ailleurs, j'ai découvert dans ce film à quel point  il a de grosses mains (zaviez remarqué ? Plus aussi charmant à mes yeux le Léo, bref...)]. Au contraire, je suis restée sur le bord du chemin. C’est un peu comme si le réalisateur avait eu besoin de faire joujou sans penser à ses spectateurs.

La seule question qui m’est venue en regardant le film (c’est dire…), c’est si Fitzgerald s’était inspiré de Zelda (sa femme) pour la figure de Daisy, femme frivole et inconstante, qui fait tourner les têtes jusqu’à la tragédie.

En un mot comme en cent : passez votre chemin !

19th mar2013

Les salles Zobscures : « Möbius » & « 20 ans d’écart »

by Bertrand

2 films français à l’affiche en ce moment, dans un registre différent mais chacun avec ses qualités propres.

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31st juil2012

Les salles Zobscures : Rebelle

by Bertrand

Pour une fois, une critique de film en avant première !

« Rebelle » sort en effet demain au cinéma et nous avons eu la chance de le voir dimanche dernier.

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14th juil2012

Les salles Zobscures : Starbuck

by Anne-Sophie

3 bonnes raisons d’aller voir ce film :

- le truculent accent canadien, avec ses innombrables expressions désopilantes

- les attachants personnages

- l’histoire

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